26 janvier : une instruction budgétaire relative aux surcoûts de la crise Covid et aux mesures de revalorisation salariale est publiée et décrypté dans le flash info en date du 29 janvier 2021 ;
9 mars : le Premier Ministre, dans le cadre du Plan de Relance présente de nouveaux investissements intégrés au Ségur de la Santé à savoir :
- 1,5 milliard d’euros sur 5 ans pour rénover ou créer des places dans les EHPAD en faisant évoluer les modes d’accompagnement des personnes âgées ;
- et 600 millions d’euros sur 3 ans pour le numérique via le programme ESMS Numérique dont vous trouverez une présentation via la fiche technique dédiée.
2 avril : Olivier Véran, Ministre des Solidarités et la Santé et Brigitte Bourguignon, Ministre déléguée à l’Autonomie informent par courrier plusieurs fédérations du secteur, dont le SYNERPA, d’un financement complémentaire dans le cadre de la circulaire budgétaire qui sera publiée en mai / juin afin de procéder à un rattrapage des crédits versés en 2020 qui sont insuffisants par rapport aux coûts réellement engagés.
Il apparaît néanmoins qu’une enveloppe de 430 millions d’euros pour 2021 soit nécessaire pour financer cette mesure pour les EHPAD privés commerciaux, ce que le SYNERPA a d’ores-et-déjà demandé ;
Enfin, le 12 avril dernier, le Ministère des Solidarités et de la Santé annonce dans le cadre de l’accord Ségur, une mesure de revalorisation des carrières pour les personnels paramédicaux. Cette mesure doit entrer en vigueur au 1er octobre 2021 dans la fonction publique hospitalière, puis doit être transposée à compter de janvier 2022 selon des conditions que nous ne connaissons pas encore dans le secteur privé commercial et associatif ainsi que pour les fonctions publiques territoriale et d’Etat.
Le SYNERPA ne manquera pas de revenir vers vous pour vous tenir informés des avancées.
A noter, afin de vous accompagner sur ce dossier, le SYNERPA a élaboré une Foire Aux Questions (FAQ) reprenant les questions fréquemment posées. Vous pouvez la consulter ici. Ce document est susceptible d’être modifié en fonction des nouveaux éléments éventuellement apportés par le Ministère des Solidarités et de la Santé ou la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA).